Mercato Story : Gouvernnec a tenté trois fois de venir en Premier League

Par Kévin Jones , le 22 février 2022
Jocelyn Gourvennec
(Photo by Hugo Pfeiffer/Icon Sport)

Jocely Gourvennec, qui fut un milieu de terrain très technique, a tenté trois fois sa chance de rejoindre la Premier League. Mais à chaque fois, ces essais dont deux à West Ham, n’ont pas été concluant.

Alors que Jocelyn Gourvennec va affronter Chelsea à la tête de son équipe de Lille, ce mardi soir en huitièmes de finale de la Ligue des Champions, en France, on rappelle que l’ancien milieu de terrain de Rennes avait tenté à trois reprises de rejoindre la Premier League. Pour trois échecs comme le raconte l’Equipe.

Leicester premier échec pour Gourvennec

La première tentative a été faite à Leicester City en 2001 comme le raconte Jocelyn Gourvennec : « On est d’accord le jeudi, raconte-t-il. Le vendredi, on me dit que ce n’est plus possible. Une histoire d’agents. J’ai apprécié la culture locale, l’ambiance à l’entraînement. Les joueurs ont un côté détaché mais c’est toujours très dur et très intense pendant les séances » raconte le désormais entraîneur de Lille.

West Ham, première tentative

Quelques semaines plus tard, il retente sa chance à West Ham alors que les Hammers cherchent un remplaçant à Michael Carrick indisponible pour plusieurs semaines : « J’ai apprécié la qualité du travail, dit Gourvennec. On dormait à Upton Park. Ils avaient construit un hôtel dans le stade. Ça s’est bien passé mais ils cherchaient un profil plus défensif » précise le Breton.

West Ham, deuxième essai

Enfin, deux ans plus tard, toujours à West Ham, celui qui est passé par Nantes, retente sa chance. Pour le même résultat : « Mon essai n’avait pas été concluant. J’étais sans club depuis la fin de mon expérience à Bastia. Je venais de reprendre avec le centre de formation du FC Nantes. J’étais à court sur le plan athlétique, pas dans le truc. Mais j’ai aimé le rythme de travail. Deux grosses séances les lundi et mardi. Le mercredi off. Puis reprise les jeudi et vendredi. C’est culturel. On démarre la semaine très fort. On fait une coupure. Puis on reprend fort quarante-huit heures avant le match. » conclut-il.

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